Livestock Research for Rural Development 26 (8) 2014 | Guide for preparation of papers | LRRD Newsletter | Citation of this paper |
Les taux de fertilité et de prolificité des luttes d’avril et de mai (respectivement : 78,7 vs 80,9% et 125 vs 119%) montrent qu’au printemps, l’avancement de la saison de lutte n’a pas beaucoup d’influence sur les résultats reproductifs de la brebis Ouled Djellal.
Mots clés: agnelage, croissance, effet mâle, productivité
Rates of fertility and prolificacy in Ouled Djellal ewes with mating season beginning in April or May varied very little and showed that the advancement of the mating season had little influence on the reproductive performance.
Key words: growth, male effect, weaning
En Algérie la race ovine Ouled Djellal, est caractérisée par une longue saison sexuelle (de juillet à janvier) suivi par un anœstrus saisonnier peu marqué (de février à juin). L’élevage ovin demeure peu productif, sa faible productivité numérique en est le principal indicateur. Plusieurs travaux rapportent que la productivité dépend essentiellement de la saison de lutte, de la fréquence d’apparition des œstrus, du mode d’induction et de synchronisation des chaleurs, du taux d’ovulation des femelles, du degré de synchronisation des chaleurs, du moment de l’accouplement ou de l’insémination, des pertes de gestations et des mortalités des jeunes à la naissance ou avant le sevrage. Une multitude de travaux a été effectuée sur la majorité de ces axes, malheureusement leurs impacts sur le terrain par des applications visant l’amélioration des systèmes de conduite traditionnels restent infimes.
L’objectif de ce travail est de contribué par l’apport d’informations supplémentaires sur sa conduite reproductive et productive, en essayant d’abord de cerner son comportement ovulatoire, après induction des chaleurs par « effet mâle » en utilisant la répartition temporelle des agnelages, suite à un décalage de 2 à 3 mois de la période des agnelages et du sevrage. Ensuite, d’estimer ses performances de reproduction et de production par le suivi des performances de croissance des agneaux.
Dans deux troupeaux de brebis de la race Ouled Djellel (Troupeau A : 85 brebis et Troupeau B : 148 brebis) la lutte a été réalisée, après « effet mâle » en avril (TA) et en mai (TM) par rapport à la date de reprise de l’activité sexuelle de cette race, habituellement en fin juin. Les naissances ont eu lieu durant les mois de septembre (TA) et d’octobre (TM). Un contrôle du poids des agneaux est effectué à la naissance (PN), 10 jours, 30 jours, 45 jours, 60 jours, 75 jours et au sevrage (PS) à 90 jours. Parallèlement un suivi des régimes alimentaires proposé aux brebis et aux agneaux est réalisé.
Les résultats moyens des performances reproductives réalisés sont reportés au tableau 1. Les taux de fertilité, de fécondité et de prolificité obtenus par plusieurs auteurs sont reportés au tableau 2. La comparaison de nos résultats à ceux obtenus dans d’autres études, montre d’abord que l’induction des chaleurs au printemps par l’effet mâle au mois d’avril et de mai a donne des taux comparables à ceux rapportés par Lamrani et al. (2008), par Safsaf et Tlijane (2010) et en lutte libre par Belkasmi et al. (2010).
Les taux de fertilité, de fécondité et de prolificité des luttes des mois d’avril et de mai montrent qu’au printemps, l’avancement de la saison de lutte de 2 à 3 mois n’a pas beaucoup d’influence sur les résultats reproductifs de la brebis Ouled Djellal.
Dans leur étude, menée sur les hauts plateaux, Dekhili et Benkhlif (2005) rapportent que la lutte de printemps enregistre les meilleures performances par rapport aux autres saisons. Ces mêmes auteurs rapportent aussi, que la saison de lutte a une très grande influence sur les capacités reproductives de la brebis Ouled-Djellal, ce qui confirme les possibilités de cette race à être saillie en toute saison. ils mentionnent aussi, que les résultats obtenus varient d’un mois à l’autre et que les plus faibles taux de production de productivité numérique (TPN) sont observés durant les mois de juillet, août et septembre avec des moyennes de 87% et pour le mois de décembre (74%), contrairement aux autres mois où la moyenne varie entre 120% (janvier) à 90% (mars). Les TPN réalisés dans notre étude (Avril 97% et Mai 93%) corroborent les performances déjà réalisées par cette race.
En ce qui concerne les autres performances, les taux de mortalité ont été relativement élevés (tableau1) ceci s’explique par le fait que presque toutes les mises bas ont eu lieu pendant la nuit, ce qui n’est pas favorable, sachant que le manque de soins, notamment aux jeunes agneaux a contribué dans l’augmentation des mortalités. Les seuls soins possibles se font au début de la journée, lors du regroupement des mères et leurs nouveau-nés dans un local réservé aux brebis ayant agnelé.
Les taux de productivité numérique (TPN) et de sevrage (TS) ont été fortement influencés par le nombre élevé de mortalité. Si on considère les deux élevages les résultats de T1 sont du au fait que les ouvriers s’occupant des ovins sont tenus par des horaires de fonctionnaires et ne suivent pas l’horaire biologique des animaux, surtout pendant la nuit et tôt le matin. Le regroupement des agnelages nécessite une veille du personnel technique à l’approche des mises bas.
Le taux de productivité numérique (TPN) est sans doute la performance qui reflète le plus la productivité d’un troupeau et résume la conduite dans son ensemble. Non seulement il renseigne sur la conduite de reproduction mais aussi sur la viabilité des agneaux après la naissance, autrement dit la conduite alimentaire et sanitaire particulièrement.
Les différences observées entre les deux troupeaux résident dans les niveaux de soutien alimentaire des femelles. En effet il y a des différences concernant la superficie des ressources pastorales, particulièrement les surfaces des jachères et des chaumes réservées aux animaux beaucoup plus importantes dans T2 par rapport à T1. Benyoucef et al (2000) rapportent que les taux de mise bas sont plus élevés en système soutenu et dénotent une efficacité dans la lutte et le déroulement de la reproduction qui est constatée lorsque les conditions d’élevage sont satisfaisantes. Ces mêmes auteurs rajoutent que les performances sont variables et significativement différentes d’une année à l’autre montrant qu’il est difficile de réaliser des performances de reproduction de façon régulière. Les différences observées entre systèmes d’élevage ne dépassent pas 13% en zone du nord. En revanche la répartition des mises bas sur les saisons montre que les élevages soutenus réalisent 60% des agnelages en automne qui constitue la période favorable en terme de climat et d’état des animaux.
Tableau 1. Performances de reproduction des brebis ayant répondu à l’effet mâle pour les luttes d’avril (T1) et de Mai (T2) et pour l’ensemble T1+T2 |
|||
Femelles soumises à l’effet mâle |
TA (n=85) |
TM (n=148) |
Total (n=233) |
Brebis cycliques |
22 |
54 |
76 |
Brebis non cycliques |
63 |
94 |
157 |
Brebis fécondées entre le 14ème et le 31ème jour |
52 |
80 |
132 |
Performances des brebis dont l’ovulation à été induite par l’effet mâle |
|||
Brebis ayant mis bas |
51 |
74 |
125 |
Brebis ayant avortées |
1 |
6 |
7 |
Naissances totales |
61 |
93 |
154 |
Mortalité % |
34 |
13 |
21,4 |
Fertilité en % |
80,9 |
78,7 |
79,6 |
Fécondité en % |
97 |
99 |
98 |
Prolificité en % |
119 |
125 |
122 |
TS en % |
65 |
87 |
78,6 |
TPN en % |
63 |
86 |
75 |
TS : taux de sevrage ; TPN : taux de productivité numérique |
Tableau 2. Performances de reproduction de brebis Ouled Djellal avec différentes méthodes de maitrise de la reproduction |
||||
paramètres |
n |
Moyenne |
Conduite de la reproduction |
Références |
Fertilité % |
430 76 |
91 79 |
LP EM |
Safsaf et Tlijane 2010
|
|
85 |
87 |
LL |
Litim et Bereksi 2011 |
|
193 |
90 |
LL |
Belkasmi et al 2010 |
|
- |
66-71-90 |
LP-LE-LA+EM |
Lamrani et al 2008 |
Fécondité % |
430 76 |
105 87 |
LL EM |
Safsaf et Tlijane 2010 |
|
85 |
94 |
LL |
Litim et Bereksi 2011 |
|
193 |
97 |
LL |
Belkasmi et al 2010 |
|
150 |
131 |
LL |
Dekhili 2004 |
|
- |
66-78-90 |
LP-LE-LA+EM |
Lamrani et al 2008 |
Prolificité % |
430 76 |
115 110 |
LL EM |
Safsaf et Tlijane 2010
|
|
193 |
108 |
LL |
Belkasmi et al 2010 |
|
85 |
108 |
LL |
Litim et Bereksi 2011 |
|
150 |
132 |
LL |
Dekhili 2004 |
|
- |
100-110-100 |
LP-LE-LA+EM |
Lamrani et al 2008 |
Sevrage % |
150 |
98 |
LL |
Dekhili, 2004 |
TPN % |
193 |
106 |
LL |
Belkasmi et al 2010 |
|
150 |
127 |
LL |
Dekhili, 2004 |
|
- |
97 93 |
Avril Mai |
Dekhili et Benkhlif 2005 |
PS en kg |
193 |
22,73 |
LL |
Belkasmi et al 2010 |
|
150 |
19,9 |
LL |
Dekhili 2004 |
LL : lutte libre ; LA : lutte d’automne ; LP : lutte de printemps ; LE : lutte d’été ; EM : effet mâle ; TPN : taux de productivité numérique ; PS : poids au sevrage |
La répartition temporelle des naissances s’était étalée de la fin du mois de juillet au début du mois de novembre, avec des maximums en septembre-octobre (chemmam et al 2014). Le calendrier des mises bas constitue la base du descriptif du fonctionnement du troupeau benoit et Laignel (2006). Les résultats de croissance des agneaux par phase sont reportés au Tableau 3.
Pour toutes les agneaux, l'augmentation du poids à été importante entre la naissance et 30j, les poids l ont plus que doublé au niveau des deux troupeaux, avec la même tendance entre les mâles et les femelles.
Durant cette phase la croissance est fortement reliée à l’apport laitier des brebis allaitantes. Ces résultats sont en accord avec ceux rapportés Benyounes et al (sous presse), par Boussena et al (2013). Cependant les PN sont nettement supérieurs à ceux rapportés par Chemmam et al (2009) en région semi aride sur la même race aussi bien en lutte d’automne qu’en lutte de printemps. Sur la même race mais dans des conditions différentes Dekhiki et Mahmane (2004), rapportent que l’accroissement en poids de la naissance à 10 jours est de +5,97 kg soit 1,6 fois le poids de PN (Tableau 4).
La comparaison des gains moyens quotidiens (GMQ) calculés pour les agneaux de deux troupeaux durant les principales phases étudiées (Tableau 3) a révélé des différences significatives (p<0,05). L’avancement de la saison sexuelle de 2 à 3 mois a eu une influence sur la croissance, le poids des agneaux augmente en montrant des différences significatives (p<0,05) de la naissance au sevrage.
Au cours des 2 premières phases : PN-10 jours et 10 jours - 30 jours, l´alimentation lactée constitue l´essentiel de la ration des agneaux. En effet la comparaison des gains moyens quotidiens (GMQ) entre les deux troupeaux pour l’ensemble des agneaux montrent des différences significatives (P<0,05) (Tableau 3). Les vitesses de croissance enregistrées sont étroitement liées aux quantités de lait offertes par les mères et leurs conditions corporelles (chemmam et al 2014). La comparaison entre les mâles et les femelles des 2 troupeaux révèle la même tendance. Il en est de même pour les phases N-30 jours et N-S. Il est évident que la supériorité des résultats de T2 se rapporte à la conduite alimentaire des jeunes qui disposent d’un apport moyen de 300 g / jour d’orge concassé et de foin de vesce-avoine, alors que les agneaux de T1 ne disposent que de 100 à 150 g / jour de son de blé et de paille de céréales.
Lorsque les agneaux ont manqué de lait durant le premier mois, la compensation de ce manque est difficile. Les écarts de croissance entre les deux troupeaux remarquables (Figure 1) montrent qu’au niveau de T2 les agneaux ont été relativement bien alimentés au cours des deux premières phases. Le gain moyen quotidien des jeunes sous alimentés au niveau de T1 est pénalisé par un manque au niveau du GMQ de 64 g / jour durant la phase N-30 jours et de 34 g / jour durant toute la phase N-S.
Figure 1. Évolution des poids vifs durant les différentes phases, pour les mâles (M) et les femelles (F) au niveau de TA(1) et TM (2). |
L´apport de concentré aux mères permet de réduire ces écarts. En effet Chemmam et al (2009), dans une étude sur la même race rapportent que les agneaux allaités par des brebis supplémentées durant les 30j qui suivent l’agnelage ont enregistrés des GMQ nettement supérieurs aux agneaux allaités par des brebis non supplémentées. En effet les agneaux issus de mères supplémentés à 2 niveaux (250 et 500 g de concentré / jours) durant 17 jours avant la mise bas et pendant 27 jours après la mise bas ont produit des agneaux avec des poids au sevrage à 77 jours de 21,3 kg et 22,1 kg et réalisé des GMQ de 234 et 242 g / jour, respectivement pour les niveaux 250 et 500 g / jour.
Au-delà de 30 jours, les agneaux consomment progressivement d’autres aliments, comme les fourrages ou le concentré. La croissance cumulée de la naissance au sevrage reste significativement (p<0,05) supérieure au niveau de TM (Tableau 3).
Les poids au sevrage à 90 jours enregistrés sont en relation directe avec les poids vifs à la naissance. Les écarts de poids à la naissance se sont traduits par des différences dans les gains moyens quotidiens (environ 34g / jour). D´autre part, un kilo d´écart à la naissance se traduira en moyenne par le même écart de poids de carcasse, quelles que soient les pratiques d´alimentation des agneaux.
Plusieurs études (Tableau 4) ont rapporté des résultats comparables (Boussena et al 2013, Dekhili et Mahmane 2004, Benyounes et al sous presse), cependant cette race fortement répandue en Algérie a développé des adaptations particulières à différentes conditions d’élevage, du nord au sud ses performances sont variables. À l’évidence les performances de croissance des agneaux de cette race restent tributaires d’autres facteurs, en particulier les aptitudes laitières des mères, la transition et l’apport fourrager mis à la disposition des agneaux durant la deuxième phase de croissance.
Tableau 3. Évolution du poids vif des agneaux des deux troupeaux (T1 et T2) aux principales phases de croissance (PN : poids à la naissance ; PS : poids au sevrage ; GMQ : gain moyen quotidien) et par sexe ; M : mâle et F : femelle. |
||||||
|
Troupeau |
Sexe (troupeau) |
||||
Age (jours) |
TA (n=61) |
TM (n=105) |
TA M (n=26) |
TA F (n= 35) |
TM M (n=47) |
TM F (n=58) |
PN |
3,91b±0,68 |
4,59a±0,81 |
3,89±0,68 |
3,94±0,68 |
4,66±0,83 |
4,41±0,78 |
10 |
5,33b±0,97 |
6,80a±1,28 |
5,41±1,04 |
5,26±0,92 |
6,94±1,38 |
6,66±1,18 |
30 |
8,10b±1,84 |
10,66a±2,15 |
8,24±1,96 |
7,95±1,76 |
11,01±2,37 |
10,31±1,90 |
PS |
15,89b±3,33 |
19,60a±4,21 |
16,3±3,28 |
15,5±3,38 |
20,55±4,85 |
18,66±3,41 |
GMQ (g / jour) |
||||||
N-10 |
142b±29 |
221a±47 |
152±36 |
132±24 |
228±55 |
225±72 |
N-30 |
139b±39 |
203a±45 |
145±42 |
133±36 |
211±51 |
196±37 |
N-S |
133b±29 |
167a±37 |
137±86 |
128±30 |
179± 45 |
158± 29 |
Les chiffres suivis de lettres différentes (a, b) sont différents au seuil de 5% (p>0.05) |
Tableau 4. Performances pondérales d’agneaux Ouled Djellal en lutte libre et GMQ : gain moyen quotidien |
||||
Performances |
n |
Poids moyen en kg et GMQ en g / jour |
Mise bas |
Références |
Poids naissance |
17 |
4,49±0,67 |
Automne |
Boussena et al 2013 |
- |
3,90 3,70 |
Automne Eté |
Dekhili et Mahnane 2004 |
|
27 33 |
3,36±0, 31 3,48±0,30 |
Automne printemps |
Chemmam et al 2009 |
|
20 |
3,55±0,20 |
0ct-fév |
Benyounes et al (sous presse) |
|
Poids à 10 jours |
20 |
5,90±0,36 |
0ct-fév |
Benyounes et al (sous presse) |
Poids à 30 jours |
17 |
6,77±1,23 / GMQ 159±59 |
Automne |
Bousena et al 2013
|
20 |
9,16±0,52 / GMQ187 ± 15 |
0ct-fév |
Benyounes et al (sous presse) |
|
Poids à 90 jours |
17 |
20,20±3,57 / GMQ 201±69 |
Automne |
Boussena et al 2013
|
- |
19,80 / GMQ 176 19,60 / GMQ178 |
Automne Eté |
Dekhili et Mahnane 2004 |
|
27
33 |
21,10±2,34 / GMQ 231±52 19,20± 2,22 / GMQ 205±26 |
Automne
printemps |
Chemmam et al 2009 |
|
20 |
16,65 ±0,64 / GMQ 145 ±7 |
0ct-fév |
Benyounes et al (sous presse) |
Le désaisonnement de la production de 2 à 3 mois au printemps, n’a pas beaucoup d’influence sur les taux de fertilité et de prolificité chez la brebis Ouled Djellel, ce qui confirme ses possibilités d’être fécondée durant toute l’année.
Par contre, l’avancement de la saison sexuelle de 2 à 3 mois influe sur le poids à la naissance, la croissance des agneaux durant la phase d’allaitement et leurs poids au sevrage.
Afin de réduire les mortalités engendrées par le groupage des naissances, la prévision et la mobilisation de techniciens pour la prise en charges des mises bas de nuit est nécessaire.
L’accroissement de poids chez les agneaux durant les 10 premiers jours et supérieur à 150% et à 30 jours il dépasse les 200%, il reste tributaire de la condition corporelle de la mère. Les apports alimentaires des périodes pré et pos-partum sont nécessaires.
Au-delà de 30 jours l’apport de foin et de concentré particulièrement influence le poids au sevrage. L’avancement de la saison de mise bas demande une prise en charge alimentaire. Cela permet aux brebis mettant bas précocement en automne, de revenir en chaleur et d’agneler une deuxième fois au printemps.
Belkasmi F, Madani T, Semari L, Allouche L et Moufouk C 2010 : Effet de la synchronisation et de l’insémination artificielle sur la productivité de l’élevage ovin dans la région semi aride algérienne, Rencontre Recherche Ruminants, 17, 171. http://www.journees3r.fr/spip.php?article3084
Benoit M et Laignel G 2006 : Méthodologie d’élaboration de résultats technico-économiques en élevage ovin allaitant. Illustration en France, en zone de plaine et de montagne. In: Mena Y. (ed.), Castel J.M. (ed.), Morand-Fehr P. (ed.). Analyse technico-économique des systèmes de production ovine et caprine : méthodologie et valorisation pour le développement et la prospective. . Zaragoza : CIHEAM / FAO / Universidad de Sevilla, p. 57 -65 (Options Méditerranéennes : Série A. Séminaires Méditerranéens ; n. 70). http://om.ciheam.org/om/pdf/a70/00800006.pdf
Benyoucef M T, Madani T et Abbas K 2000 : Systèmes d'élevage et objectifs de sélection chez les ovins en situation semi-aride algérienne. In : Gabiña D. (ed.). Analysis and definition of the objectives in genetic improvement programmes in sheep and goats. An economic approach to increase their profitability . Zaragoza : CIHEAM, p. 101-109. (Options Méditerranéennes : Série A. Séminaires Méditerranéens; n. 43). Meeting of the Sub-Network on Genetic Resources of the FAO-CIHEAM Inter-Regional Cooperative Research and Development Network on Sheep and Goats, 1999/11/18-20, Zaragoza (Spain). http://om.ciheam.org/om/pdf/a43/00600474.pdf
Benyounes A, Rezaiguia M et Lamrani F (sous presse) : Croissance des agneaux Ouled Djellal et croisés Ouled Djellal x Taâdmit ; relation avec le poids vif des mères à la mise bas.
Boussena S, Bouaziz O, Zerrougui S, Derqaoui L et Tainturier D 2013 : Performances de croissance corporelle et testiculaire avant le sevrage chez les agneaux de race Ouled Djellal. Revue Méd. Vét., 164(4) : 191-199. http://www.revmedvet.com/2013/RMV164_191_199.pdf
Chemmam M, Moujahed N, Ouzrout R et Kayouli C 2009 : Variations des performances chez la brebis "Ouled Djellal" sur pâturage dans le Sud-est de l’Algérie : Effets de la saison et de la complémentation. Livestock Research for Rural Development. Volume 21 Article#84.Retrieved January30, 2014, from http://www.lrrd.org/lrrd21/6/chem21084.htm
Chemmam M, N Meftah, Boudechiche L et Benyounes A 2014 : Effets de l'introduction du mâle à Deux différentes dates sur l'Activité ovulatoire chez la brebis Ouled Djellel en Algérie. recherche sur l'élevage pour le développement rural. Volume 26, article n ° 53. Récupérée 20 Juin 2014 à partir de http://www.lrrd.org/lrrd26/3/chem26053.htm
Dekhili M et Mahnane S 2004 : Facteurs de l’accroissement en poids des agneaux (Ouled-Djellal) de la naissance au sevrage Rencontre Recherche Ruminants, 11, p235, from http://www.journees3r.fr/IMG/pdf/2004_itineraire_11_Dekhili.pdf
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Received 23 June 2014; Accepted 12 July 2014; Published 1 August 2014