Livestock Research for Rural Development 26 (8) 2014 Guide for preparation of papers LRRD Newsletter

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Effets de l’avancement de la saison sexuelle sur les performances de reproduction et le poids des agneaux Ouled Djellal au sevrage dans le nord-est de l’Algérie

M Chemmam, N Meftah1 et Mebirouk L Boudechiche1

Université 8 Mai 1945, faculté des sciences de la nature et de la vie et des sciences de la terre et de l’univers Guelma Algérie
1Université d’El-Tarf, faculté des sciences de la nature et de la vie, département des sciences vétérinaires, El-Tarf Algérie

Résumé

Les taux de fertilité et de prolificité des luttes d’avril et de mai (respectivement : 78,7 vs 80,9% et 125 vs 119%) montrent qu’au printemps, l’avancement de la saison de lutte n’a pas beaucoup d’influence sur les résultats reproductifs de la brebis Ouled Djellal.

Mots clés: agnelage, croissance, effet mâle, productivité



Effects of the advance of the mating season on the reproduction and the weaning weight of Ouled Djellal sheep in the North-East of Algeria

Summary

Rates of fertility and prolificacy in Ouled Djellal ewes  with mating season beginning in April or May varied very little and showed that the advancement of the mating season had little influence on the reproductive performance.

Key words: growth, male effect, weaning


Introduction

En Algérie la race ovine Ouled Djellal, est caractérisée par une longue saison sexuelle (de juillet à janvier) suivi par un anœstrus saisonnier peu marqué (de février à juin).  L’élevage ovin demeure peu productif, sa faible productivité numérique en est le principal indicateur. Plusieurs travaux rapportent que la productivité dépend essentiellement de la saison de lutte, de la fréquence d’apparition des œstrus, du mode d’induction et de synchronisation des chaleurs, du taux d’ovulation des femelles, du degré de synchronisation des chaleurs, du moment de l’accouplement ou de l’insémination, des pertes de gestations et  des mortalités des jeunes à la naissance ou avant le sevrage. Une multitude de travaux a été effectuée sur la majorité de ces axes, malheureusement leurs impacts sur le terrain par des applications visant l’amélioration des systèmes de conduite traditionnels restent infimes.

 

L’objectif de ce travail est de contribué par l’apport d’informations supplémentaires sur sa conduite reproductive et productive, en essayant d’abord de cerner son comportement ovulatoire, après induction des chaleurs par « effet mâle » en utilisant la répartition temporelle des agnelages, suite à un décalage de 2 à 3 mois de la période des agnelages et du sevrage. Ensuite, d’estimer ses performances de reproduction et de production par le suivi des performances de croissance des agneaux.


Matériels et méthodes

Dans deux troupeaux de brebis de la race Ouled Djellel (Troupeau A : 85 brebis et Troupeau B : 148 brebis) la lutte a été réalisée, après « effet mâle » en avril (TA) et en mai (TM) par rapport à la date de reprise de l’activité sexuelle de cette race, habituellement en fin juin. Les naissances ont eu lieu durant les mois de septembre (TA) et d’octobre (TM). Un contrôle du poids des agneaux est effectué à la naissance (PN), 10 jours, 30 jours, 45 jours, 60 jours, 75 jours et au sevrage (PS) à 90 jours.  Parallèlement un suivi des régimes alimentaires proposé aux brebis et aux agneaux est réalisé.


Résultats et discussion

Paramètres de reproduction des femelles ayant répondu à l’effet mâle 

 

Les résultats moyens des performances reproductives réalisés sont reportés au tableau 1. Les taux de fertilité, de fécondité et de prolificité obtenus par plusieurs auteurs sont reportés au tableau 2. La comparaison de nos résultats à ceux obtenus dans d’autres études, montre d’abord que l’induction des chaleurs au printemps par l’effet mâle au mois d’avril et de mai a donne des taux comparables à ceux rapportés par Lamrani et al. (2008), par Safsaf et Tlijane (2010) et en lutte libre par Belkasmi et al. (2010).

 

Les taux de fertilité, de fécondité et de prolificité des luttes des mois d’avril et de mai montrent qu’au printemps, l’avancement de la saison de lutte de 2 à 3 mois n’a pas beaucoup d’influence sur les résultats reproductifs de la brebis Ouled Djellal.

 

Dans leur étude, menée sur les hauts plateaux, Dekhili et Benkhlif (2005) rapportent que la lutte de printemps enregistre les meilleures performances par rapport aux autres saisons. Ces mêmes auteurs rapportent aussi, que la saison de lutte a une très grande influence sur les capacités reproductives de la brebis Ouled-Djellal, ce qui confirme les possibilités de cette race à être saillie en toute saison. ils mentionnent aussi, que  les résultats obtenus varient d’un mois à l’autre et que les plus faibles taux de production de productivité numérique (TPN) sont observés durant les mois de juillet,  août et septembre avec des moyennes de 87% et pour le mois de décembre (74%), contrairement aux autres mois où la moyenne varie entre 120% (janvier) à 90% (mars). Les TPN réalisés dans notre étude (Avril 97% et Mai 93%) corroborent les performances déjà réalisées par cette race.

 

En ce qui concerne les autres performances, les taux de mortalité ont été relativement élevés (tableau1) ceci s’explique par le fait que presque toutes les mises bas ont eu lieu pendant la nuit, ce qui n’est pas favorable, sachant que le manque de soins, notamment aux jeunes agneaux a contribué dans l’augmentation des mortalités. Les seuls soins possibles se font au début de la journée, lors du regroupement des mères et leurs nouveau-nés dans un local réservé aux brebis ayant agnelé.

 

Les taux de productivité numérique (TPN) et de sevrage (TS) ont été fortement influencés par le nombre élevé de mortalité. Si on considère les deux élevages les résultats de T1 sont du au fait que les ouvriers s’occupant des ovins sont tenus par des horaires de fonctionnaires et ne suivent pas l’horaire biologique des animaux, surtout pendant la nuit et tôt le matin. Le regroupement des agnelages nécessite une veille du personnel technique à l’approche des mises bas.

 

Le taux de productivité numérique (TPN) est sans doute la performance qui reflète le plus la productivité d’un troupeau et résume la conduite dans son ensemble. Non seulement il renseigne sur la conduite de reproduction mais aussi sur la viabilité des agneaux après la naissance, autrement dit la conduite alimentaire et sanitaire particulièrement.

 

Les différences observées entre les deux troupeaux résident dans les niveaux de soutien alimentaire des femelles. En effet il y a des différences concernant la superficie des ressources pastorales, particulièrement les surfaces des jachères et des chaumes réservées aux animaux beaucoup plus importantes dans T2 par rapport à T1.  Benyoucef et al (2000) rapportent que les taux de mise bas sont plus élevés en système soutenu et dénotent une efficacité dans la lutte et le déroulement de la reproduction qui est constatée lorsque les conditions d’élevage sont satisfaisantes. Ces mêmes auteurs rajoutent que les performances sont variables et significativement différentes d’une année à l’autre montrant qu’il est difficile de réaliser des performances de reproduction de façon régulière. Les différences observées entre systèmes d’élevage ne dépassent pas 13% en zone du nord.  En revanche la répartition des mises bas sur les saisons montre que les élevages soutenus réalisent 60% des agnelages en automne qui constitue la période favorable en terme de climat et d’état des animaux.

 

Tableau 1. Performances de reproduction des brebis ayant répondu à l’effet mâle pour les luttes d’avril (T1) et de Mai (T2) et pour l’ensemble T1+T2

Femelles soumises à l’effet mâle

TA (n=85)

TM (n=148)

Total (n=233)

Brebis cycliques

22

54

76

Brebis non cycliques

63

94

157

Brebis fécondées entre le 14ème  et le 31ème  jour

52

80

132

Performances des brebis dont l’ovulation à été induite par l’effet mâle

Brebis ayant mis bas

51

74

125

Brebis ayant avortées

1

6

7

Naissances totales

61

93

154

Mortalité %

34

13

21,4

Fertilité en % 

80,9

78,7

79,6

Fécondité en %

97

99

98

Prolificité en %

119

125

122

TS en %

65

87

78,6

TPN en %

63

86

75

TS : taux de sevrage ; TPN : taux de productivité numérique

 

Tableau 2. Performances de reproduction de brebis Ouled Djellal avec différentes méthodes de maitrise de la reproduction

paramètres

n

Moyenne

Conduite de la reproduction

Références

Fertilité %

430

76

91

79

LP

EM

Safsaf et Tlijane 2010

 

 

85

87

LL

Litim et Bereksi 2011

 

193

90

LL

Belkasmi et al 2010

 

-

66-71-90

LP-LE-LA+EM

Lamrani et al 2008

Fécondité %

430

76

105

87

LL

EM

Safsaf et Tlijane 2010

 

85

94

LL

Litim et Bereksi 2011

 

193

97

LL

Belkasmi et al 2010

 

150

131

LL

Dekhili 2004

 

-

66-78-90

LP-LE-LA+EM

Lamrani et al 2008

Prolificité %

430

76

115

110

LL

EM

Safsaf et Tlijane 2010

 

 

193

108

LL

Belkasmi et al 2010

 

85

108

LL

Litim et Bereksi 2011

 

150

132

LL

Dekhili 2004

 

-

100-110-100

LP-LE-LA+EM

Lamrani et al 2008

Sevrage %

150

98

LL

Dekhili, 2004

TPN %

193

106

LL

Belkasmi et al 2010

 

150

127

LL

Dekhili, 2004

 

-

97

93

Avril

Mai

Dekhili et Benkhlif 2005

PS en kg

193

22,73

LL

Belkasmi et al 2010

 

150

19,9

LL

Dekhili 2004

LL : lutte libre ; LA : lutte d’automne ; LP : lutte de printemps ; LE : lutte d’été ; EM : effet mâle ; TPN : taux de productivité numérique ; PS : poids au sevrage
La croissance des agneaux 

 

La répartition temporelle des naissances s’était étalée de la fin du mois de juillet au début du mois de novembre, avec des maximums en septembre-octobre (chemmam et al 2014). Le calendrier des mises bas constitue la base du descriptif du fonctionnement du troupeau benoit et Laignel (2006). Les résultats de croissance des agneaux par phase sont reportés au Tableau 3.

 

Pour toutes les agneaux, l'augmentation du poids à été importante entre la naissance et 30j, les poids l ont plus que doublé au niveau des deux troupeaux, avec la même tendance entre les mâles et les femelles.

 

Durant cette phase la croissance est fortement reliée à l’apport laitier des brebis allaitantes. Ces résultats sont en accord avec ceux rapportés Benyounes et al (sous presse), par Boussena et al (2013). Cependant les PN sont nettement supérieurs à ceux rapportés par Chemmam et al (2009) en région semi aride sur la même race aussi bien en lutte d’automne qu’en lutte de printemps. Sur la même race mais dans des conditions différentes Dekhiki et Mahmane (2004), rapportent que l’accroissement en poids de la naissance à 10 jours est de +5,97 kg soit 1,6 fois le poids de PN (Tableau 4). 

 

La comparaison des gains moyens quotidiens (GMQ) calculés pour les agneaux de deux troupeaux durant les principales phases étudiées (Tableau 3) a révélé des différences significatives (p<0,05). L’avancement de la saison sexuelle de 2 à 3 mois a eu une influence sur la croissance, le poids des agneaux augmente en montrant des différences significatives (p<0,05) de la naissance au sevrage.

 

Au cours des 2 premières phases : PN-10 jours et 10 jours - 30 jours, l´alimentation lactée constitue l´essentiel de la ration des agneaux. En effet la comparaison des gains moyens quotidiens (GMQ) entre les deux troupeaux pour l’ensemble des agneaux montrent des différences significatives (P<0,05) (Tableau 3). Les vitesses de croissance enregistrées sont étroitement liées aux quantités de lait offertes par les mères et leurs conditions corporelles (chemmam et al 2014). La comparaison entre les mâles et les femelles des 2 troupeaux révèle la même tendance.  Il en est de même pour les phases N-30 jours et N-S. Il est évident que la supériorité des résultats de T2 se rapporte à la conduite alimentaire des jeunes qui disposent d’un apport moyen de 300 g / jour d’orge concassé et de foin de vesce-avoine, alors que les agneaux de T1 ne disposent que de 100 à 150 g / jour de son de blé et de paille de céréales.

 

Lorsque les agneaux ont manqué de lait durant le premier mois, la compensation de ce manque est difficile. Les écarts de croissance entre les deux troupeaux remarquables (Figure 1) montrent qu’au niveau de T2 les agneaux ont été relativement bien alimentés au cours des deux premières phases. Le gain moyen quotidien des jeunes sous alimentés au niveau de T1 est pénalisé par un manque au niveau du GMQ de 64 g / jour durant la phase N-30 jours et de 34 g / jour durant toute la phase N-S.


Figure 1. Évolution des poids vifs durant les différentes phases, pour les mâles (M) et les femelles (F) au niveau de TA(1) et TM (2).

L´apport de concentré aux mères permet de réduire ces écarts. En effet Chemmam et al (2009), dans une étude sur la même race rapportent que les agneaux allaités par des brebis supplémentées durant les 30j qui suivent l’agnelage ont enregistrés des GMQ nettement supérieurs aux agneaux allaités par des brebis non supplémentées. En effet les agneaux issus de mères supplémentés à 2 niveaux (250 et 500 g de concentré / jours) durant 17 jours avant la mise bas et pendant 27 jours après la mise bas ont produit des agneaux avec des poids au sevrage à 77 jours de 21,3 kg et 22,1 kg et réalisé des GMQ de 234 et 242 g / jour, respectivement pour les niveaux 250 et 500 g / jour.

 

Au-delà de 30 jours, les agneaux consomment progressivement d’autres aliments, comme les fourrages ou le concentré. La croissance cumulée de la naissance au sevrage reste significativement (p<0,05) supérieure au niveau de TM (Tableau 3). 

 

Les poids au sevrage à 90 jours enregistrés sont en relation directe avec les poids vifs à la naissance. Les écarts de poids à la naissance se sont traduits par des différences dans les gains moyens quotidiens (environ 34g / jour). D´autre part, un kilo d´écart à la naissance se traduira en moyenne par le même écart de poids de carcasse, quelles que soient les pratiques d´alimentation des agneaux.

 

Plusieurs études (Tableau 4) ont rapporté des résultats comparables (Boussena et al 2013, Dekhili et Mahmane 2004, Benyounes et al sous presse), cependant cette race fortement répandue en Algérie a développé des adaptations particulières à différentes conditions d’élevage, du nord au sud ses performances sont variables. À l’évidence les performances de croissance des agneaux de cette race restent tributaires d’autres facteurs, en particulier les aptitudes laitières des mères, la transition et l’apport fourrager mis à la disposition des agneaux durant la deuxième phase de croissance.

 

Tableau 3. Évolution du poids vif des agneaux des deux troupeaux (T1 et T2) aux principales phases de croissance

(PN : poids à la naissance ; PS : poids au sevrage ; GMQ : gain moyen quotidien) et par sexe ; M : mâle et F : femelle.

 

Troupeau

Sexe (troupeau)

Age (jours)

TA (n=61)

TM (n=105)

TA M (n=26)

TA F (n= 35)

TM M (n=47)

TM F (n=58)

PN

3,91b±0,68

4,59a±0,81

3,89±0,68

3,94±0,68

4,66±0,83

4,41±0,78

10

5,33b±0,97

6,80a±1,28

5,41±1,04

5,26±0,92

6,94±1,38

6,66±1,18

30

8,10b±1,84

10,66a±2,15

8,24±1,96

7,95±1,76

11,01±2,37

10,31±1,90

PS

15,89b±3,33

19,60a±4,21

16,3±3,28

15,5±3,38

20,55±4,85

18,66±3,41

GMQ (g / jour)

N-10

142b±29

221a±47

152±36

132±24

228±55

225±72

N-30

139b±39

203a±45

145±42

133±36

211±51

196±37

N-S

133b±29

167a±37

137±86

128±30

179± 45

158± 29

Les chiffres suivis de lettres différentes (a, b) sont différents au seuil de 5% (p>0.05)

 

Tableau 4. Performances pondérales d’agneaux Ouled Djellal en lutte libre et GMQ : gain moyen quotidien

Performances

n

Poids moyen en kg et GMQ en g / jour

Mise bas

Références

Poids naissance

17

4,49±0,67

Automne

Boussena et al 2013

-

3,90

3,70

Automne

Eté

Dekhili et Mahnane 2004

27

33

3,36±0, 31

3,48±0,30

Automne

printemps

Chemmam et al 2009

20

3,55±0,20

0ct-fév

Benyounes et al

(sous presse)

Poids à 10 jours

20

5,90±0,36

0ct-fév

Benyounes et al

(sous presse)

Poids à 30 jours

17

6,77±1,23 / GMQ 159±59

Automne

Bousena et al 2013

 

20

9,16±0,52 / GMQ187 ± 15

0ct-fév

Benyounes et al

(sous presse)

Poids à 90 jours

17

20,20±3,57 / GMQ 201±69

Automne

Boussena et al 2013

 

-

19,80 / GMQ 176

19,60 / GMQ178

Automne

Eté

Dekhili et Mahnane 2004

27

 

33

21,10±2,34 / GMQ 231±52

19,20± 2,22 / GMQ 205±26

Automne

 

printemps

Chemmam et al 2009

20

16,65 ±0,64 / GMQ 145 ±7

0ct-fév

Benyounes et al 

(sous presse)


Conclusion


Références

Belkasmi F, Madani T, Semari L, Allouche L et Moufouk C 2010 : Effet de la synchronisation et de l’insémination artificielle sur la productivité de l’élevage ovin dans la région semi aride algérienne, Rencontre Recherche Ruminants, 17, 171. http://www.journees3r.fr/spip.php?article3084 

Benoit M et Laignel G 2006 : Méthodologie d’élaboration de résultats technico-économiques en élevage ovin allaitant. Illustration en France, en zone de plaine et de montagne. In: Mena Y. (ed.), Castel J.M. (ed.), Morand-Fehr P. (ed.). Analyse technico-économique des systèmes de production ovine et caprine : méthodologie et valorisation pour le développement et la prospective. . Zaragoza : CIHEAM / FAO / Universidad de Sevilla, p. 57 -65 (Options Méditerranéennes : Série A. Séminaires Méditerranéens ; n. 70).  http://om.ciheam.org/om/pdf/a70/00800006.pdf 

Benyoucef M T, Madani T et Abbas K 2000 : Systèmes d'élevage et objectifs de sélection chez les ovins en situation semi-aride algérienne. In : Gabiña D. (ed.). Analysis and definition of the objectives in genetic improvement programmes in sheep and goats. An economic approach to increase their profitability . Zaragoza : CIHEAM, p. 101-109. (Options Méditerranéennes : Série A. Séminaires Méditerranéens; n. 43). Meeting of the Sub-Network on Genetic Resources of the FAO-CIHEAM Inter-Regional Cooperative Research and Development Network on Sheep and Goats, 1999/11/18-20, Zaragoza (Spain). http://om.ciheam.org/om/pdf/a43/00600474.pdf 

Benyounes A, Rezaiguia M et Lamrani F (sous presse) : Croissance des agneaux Ouled Djellal et croisés Ouled Djellal x Taâdmit ; relation avec le poids vif des mères à la mise bas. 

Boussena S, Bouaziz O, Zerrougui S, Derqaoui L et Tainturier D 2013 : Performances de croissance corporelle et testiculaire avant le sevrage chez les agneaux de race Ouled Djellal. Revue Méd. Vét., 164(4) : 191-199. http://www.revmedvet.com/2013/RMV164_191_199.pdf 

Chemmam M, Moujahed N, Ouzrout R et Kayouli C 2009 : Variations des performances chez la brebis "Ouled Djellal" sur pâturage dans le Sud-est de l’Algérie : Effets de la saison et de la complémentation. Livestock Research for Rural Development. Volume 21 Article#84.Retrieved January30, 2014, from http://www.lrrd.org/lrrd21/6/chem21084.htm 

Chemmam M, N Meftah, Boudechiche L et Benyounes A 2014 : Effets de l'introduction du mâle à Deux différentes dates sur l'Activité ovulatoire chez la brebis Ouled Djellel en Algérie. recherche sur l'élevage pour le développement rural. Volume 26, article n ° 53. Récupérée 20 Juin 2014 à partir de http://www.lrrd.org/lrrd26/3/chem26053.htm 

Dekhili M et Mahnane S 2004 : Facteurs de l’accroissement en poids des agneaux (Ouled-Djellal) de la naissance au sevrage Rencontre Recherche Ruminants, 11, p235, from http://www.journees3r.fr/IMG/pdf/2004_itineraire_11_Dekhili.pdf 

Dekhlili M 2004 : Étude de la productivité d’un troupeau de brebis de race Ouled Djellal, Rencontre Recherche Ruminants, 11, 234. http://www.journees3r.fr/spip.php?article484 

Dekhili M et Benkhlif R 2005 : Bilan portant sur les performances reproductives d’un troupeau de Brebis Ouled-Djellal Rencontre Recherche Ruminants, 2005, 12, p 162, http://www.journees3r.fr/spip.php?article1326  

Lamrani F, Benyounes A, El Bouyahiaoui R, Toumi Fedaoui K et Sebbagh L 2008 : Effet du mode d'induction et de synchronisation des chaleurs sur le rendement reproductif des brebis Ouled Djellal. Recherche Agronomique, 21 : 59- 71. 

Litim M et Bereksi K 2011 : Efficacité de l’insémination artificielle ovine chez la race Ouled Djellal de la région de naâma, Rencontre Recherche Ruminants, 18, 101. http://www.journees3r.fr/spip.php?article3332 

Safsaf B et Tlidjane M 2010 : Effet du type de synchronisation des chaleurs sur les paramètres dela reproduction des brebis Ouled Djellal dans la steppe algérienne. Rencontre Recherche Ruminants, 17, 170. http://www.journees3r.fr/IMG/pdf/2010_04_13_Safsaf.pdf   


Received 23 June 2014; Accepted 12 July 2014; Published 1 August 2014

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