Livestock Research for Rural Development 26 (8) 2014 | Guide for preparation of papers | LRRD Newsletter | Citation of this paper |
Les effets du traitement de la paille d’orge avec 7% d’urée sur la quantité de matière sèche volontairement ingérée, le poids à la naissance, la production laitière et la croissance ont été étudiés pendant la gestation et après agnelage jusqu’au sevrage chez des brebis multipares de race Ouled Djellal.
Les résultats ont montré que le traitement de la paille a permis durant la gestation une augmentation moyenne de la matière sèche volontairement ingérée de l’ordre de 30 % .L’effet a également été significativement marqué sur le poids à la naissance des agneaux (4,55kg vs 3,80 kg) soit une augmentation de 20% ; P=0,001, sur le gain de poids (217g vs 187g) soit une augmentation de 16 % ; P= 0,02 et sur la teneur du lait en protéines + 30% ; P= 0,04 et en lactose +20 % ; P=0,02. Cet essai montre que la paille traitée à l’urée et correctement complémentée peut être envisagée chez la brebis gravide et en lactation.
Mots - clés: alimentation, gestation, ingestion, poids de naissance, croissance, production laitière
The effect of barley straw treated with urea 7% on the voluntary dry matter intake, lambing weight, milk production and growth of lambs, was studied during pregnancy and milking phase in the case of Ouled Djellal ewes.
The straw treatment by urea during pregnancy increased by 30% the dry matter intake. Equally, a positive effect was recorded on the birth weight, average weight gain to weaning, the milk protein and lactose content. The responses registered during the experiment confirmed the benefits of feeding ewes during pregnancy and lactation with straw treated with urea.
Key words: birth weight, growth, milk production
En Algérie, l’alimentation des ruminants repose sur l’utilisation de fourrages de qualité inférieure, souvent riches en fibres. Dans ce contexte, les pailles de céréales sont présentes durant toute l’année dans la ration alimentaire de base et sont considérées comme fourrage. A titre indicatif, en 2013 la production moyenne de paille a été estimée à près de 6 millions de tonnes (M A 2013).
Malheureusement, cette ressource alimentaire est caractérisée par des niveaux bas en énergie et en protéines. Le recours à un système alimentaire basé sur l’utilisation de la paille traitée à l’urée constitue une voie d’amélioration de la valeur alimentaire. Toutefois, si les recherches sur l’utilisation par les ovins des pailles traitées aux alcalis sont assez nombreuses (Chermiti et al 1989, Koriz et Boukedjar1991, Yahiaoui 1992, Zazoua et Boulkeroua 1992, Haned et Belghirtar 1993, Chermiti 1994, Houmani 1998, Yakhlef 2003) ces dernières ont été focalisées sur la composition chimique et les performances de croissances. Les effets du traitement de la paille à l’urée (7%) sur l’ingestion de la matière sèche, le poids à la naissance, le gain de poids moyen et la production laitière ont été étudiés depuis la gestation jusqu’au sevrage, chez deux lots de brebis multipares, nourris à partir d’une ration de base composée de paille traitée ou non à l’urée, distribuée à volonté et complémentée avec du concentré.
Une paille d’orge traitée ou non à l’urée a été distribuée à volonté à deux lots de 50 brebis pendant la gestation et la lactation. Pour répondre aux besoins variables des animaux aux différents stades physiologiques ,un concentré ovin composé majoritairement de 80% d’orge ,10% de son de blé,7% de tourteau de soja et 3% de minéraux a été offert en quantités croissantes à raison de 200,300,400 et 500g pour le lot témoin et 100, 200,300 et 400g pour le lot paille traitée respectivement durant les trois premiers mois ,4ème et 5ème mois de gestation et pendant la lactation. Parallèlement, des pierres à lécher (en bloc) ont été mises en permanence à la disposition des animaux (S : 580 mg/kg, Zn : 480 mg/kg, Fe : 300 mg/kg, Cu : 40 mg/kg et des traces de cobalt, sélénium et d’iode).
Le traitement de la paille à l’urée a été réalisé en meule sans addition d’uréase, selon la méthode décrite par Lawrence et al(2000) .Le principe consiste à arroser, avec une solution dosant 7% d’urée alimentaire, une couche de paille sur deux ; l’opération achevée, la meule est fermée hermétiquement. La durée de confinement est de 21 jours à une température de 26 degrés C ; la paille est stockée sous un hangar en vue de son utilisation. La composition chimique des pailles utilisées et du concentré est consignée dans le tableau 1.
Tableau 1. Composition chimique des deux rations |
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Paille traitée |
Paille non traitée |
Concentré |
|
Matière sèche, % |
94,0 ± 2,87 |
88,6 ± 1,95 |
95,69 |
% MS | |||
Matière minérale |
2,59 ± 0,28 |
2,13 ± 0,04 |
1,86 ± 0,57 |
Matière organique |
95,2 ± 3,31 |
96,9 ± 1,27 |
98,1 ± 0,57 |
Matière azotée totale |
3,45 ± 0,31 |
14,4 ± 1,01 |
11,9 ± 0,36 |
NDF |
88,4 ± 0,76 |
83,2 ± 13,20 |
54,0 ± 4,93 |
ADF |
49,6 ± 0,75 |
45,4 ± 0,66 |
28,8 ± 0,97 |
ADL |
7,13 ± 0,66 |
6,18 ± 0,66 |
1,14 ± 0,64 |
Calcium (g/kg MS) |
0,91±0.04 |
0,94 ± 0,08 |
0,43±0,57 |
Phosphore (g/kg MS) |
0,78±0,04 |
0,76±0,03 |
5,02±0,37 |
Cinquante brebis gravides ayant une portée simple (diagnostic par échographie 45 jours après la lutte), préalablement synchronisées ont été choisies sur le critère du poids vif et de la parité, âgées de 4 ans et pesant en moyenne 57±3,7 kg, au sein d’un troupeau de 363 têtes de race locale Ouled Djellal de la ferme expérimentale de l’Institut Technique des Elevages d’Ain m’lila, à 43 km au sud de Constantine, Algérie.
Les animaux ont été répartis dans deux lots de 25 brebis et adaptés aux deux régimes pendant 15 jours.
Les effets du traitement à l’urée sur les quantités de matières sèches volontairement ingérées ont été étudiés au cours du premier tiers de gestation, cinquième mois et 90 jours après la mise bas. Les réponses des brebis des deux lots ont été appréciées au niveau du poids à la naissance des agneaux, de la production laitière et de la croissance pondérale. A la naissance le poids des agneaux a été noté avec une balance de précision (Sartorius 0,5 g d’erreur), des pesées hebdomadaires ont été réalisées jusqu'à l’âge de 90 jours pour étudier la croissance pondérale des agneaux des deux lots.
Les quantités de matières sèches volontairement ingérées ont été mesurées chez les brebis des deux lots en début, au dernier mois de gestation, deux semaines après la mise bas et 12 semaines après. Les teneurs des aliments en matière sèche, en matière minérale, en cellulose brute et en matière azotée totale ont été déterminés à l’aide des méthodes officielles de l’AOAC (1990) ; les composés pariétaux par la méthode de Van Soest (1967). La qualité du lait a été appréciée par le dosage des quantités de protéines, de lactose, de matière grasse et des extrait secs au début, au pic de la lactation et neuf semaines après, à partir d’échantillons de lait frais, à l’aide d’un appareil de mesure de terrain de type Eco Milk. Les échantillons de lait ont été homogénéisés par agitation puis une quantité suffisante a été versée dans le bécher de l’appareil qui contient une électrode de lecture spécifique. Une fois stabilisé, les résultats sont affichés sur l’écran de l’appareil. La production laitière a été estimée à la quatrième semaine pendant trois jours consécutifs, reposant sur la différence de poids des agneaux avant et après tétée Une balance d’une portée de 25 kg a servi pour les pesées. La veille de l’estimation, les agneaux ont été séparés de leurs mères. Le lendemain, avant de les relâcher pour vider la mamelle, leurs poids vifs ont été notés à jeun et après tétée. Aussitôt, une autre séparation a été pratiquée pour une deuxième estimation. Pour l’ensemble des brebis, la production laitière a été estimée à partir de la moyenne des productions des trois jours.
L’analyse de la variance, suivie du test de Newman et Keuls au seuil de signification de 5% était l’outil statistique utilisé pour la comparaison des moyennes des différents paramètres étudiés.
Les résultats de la matière sèche volontairement ingérée, du poids à la naissance, du gain de poids et de la production laitière sont enregistrés sur les tableaux 2, 3, 4 et 5 respectivement.
Tableau 2. Effet du traitement de la paille sur la matière sèche volontairement ingérée (g MS/kgP0,75) |
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|
Témoin |
Expérimental |
SEM |
p |
Début gestation |
54,2b |
62,4a |
2,6 |
0,02 |
Fin gestation |
31,6b |
51,7a |
4,0 |
<0,001 |
2 semaines après mise bas |
44,2b |
53,5a |
1,55 |
<0,001 |
12 semaines après mise bas |
52,2b |
60,4a |
1,36 |
0,02 |
(a, b) : les moyennes affectées de lettres différentes dans une même lignes sont significativement différentes au seuil de signification de 5%. SEM : erreur standard |
Par rapport au témoin, les résultats de la matière sèche ingérée (Tableau 2) montrent que quel que soit le stade physiologique, l’effet du traitement à l’urée a été significatif sur la matière sèche volontairement ingérée. L’accroissement de la consommation de la paille était estimé à 15% ,60%, 20% et 16% respectivement au début, fin de gestation, deux et douze semaines après mise bas.
Tableau 3. Résultats des poids à la naissance (kg) et du gain de poids moyen quotidien (g) des agneaux des deux lots |
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|
Témoin |
Expérimental |
SEM |
p |
Poids à la naissance (kg) |
3,80b |
4,55a |
0,10 |
0,001 |
Poids à 90 jours (kg) |
19,6b |
22,8a |
0,41 |
0,04 |
Gain de poids moyen quotidien (g/j) |
187b |
217a |
9,77 |
0,02 |
(a, b) : les moyennes affectées de lettres différentes dans une même lignes sont significativement différentes au seuil de signification de 5%. SEM : erreur standard. |
Les résultats du poids à la naissance des agneaux nés de mères alimentées à base de paille traitée sont significativement supérieurs (+20%). A l’âge de 12 semaines le lot expérimental se distingue par une croissance significativement plus élevée, puisqu’il enregistre un gain moyen quotidien autour de 217 g/jour contre 187 g/jour soit un accroissement de +16%, P= 0,02.
Tableau 4. Effet de la paille traitée à l’urée sur la production laitière et la composition du lait |
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Paramètre du lait |
Lot témoin |
Lot expérimental |
SEM |
p |
Quantité (kg/brebis/j) |
1,04 |
1,13 |
0,12 |
0,64 |
Matière grasse (g/l) |
8,66 |
8,80 |
0,13 |
0,39 |
Protéines (g/l) |
4,48b |
5,81a |
0,50 |
0,04 |
Lactose (g/l) |
2,98b |
3,59a |
0,10 |
0,02 |
Extraits secs (g/l) |
11,8b |
13,3a |
0,39 |
0,02 |
(a, b) : les moyennes affectées de lettres différentes dans une même lignes sont significativement différentes au seuil de signification de 5%. SEM : erreur standard. |
Les résultats de la production laitière et la composition du lait montrent qu’il n’ya pas de modifications significatives entre la quantité de lait produite et la matière grasse .Cependant, on note un accroissement significatif de la teneur du lait en protéine (+30% ; P= 0,04) et en lactose (+20% ; P= 0,02) et en extraits secs (+13% ; P= 0,02).
Les quantités moyennes de matière sèche traitée volontairement ingérées, passent de 62,4 en début gestation à 51,7 en fin gestation et à 53,5 g MS /kg P0,75 après mise bas ; lorsque les quantités de concentré sont 200, 300 et 400 g/jour. Cette tendance à la baisse est en accord avec les observations faites par Hadjpleris et Holmes (1966); Theriez et Molenat (1975) et Yahiaoui (1992). Elle s’expliquerait selon Forbes (1970) par une limitation de l’appétit d’ordre physique à cause de la compression du rumen par l’utérus gravide et d’ordre métabolique sous l’effet de l'accroissement du taux d’œstrogènes plasmatiques au fur et à mesure que la gestation avance. Néanmoins, nos résultats ne concordent pas avec ceux de Guessous et Rihani (1993) qui rapportent des quantités ingérées de 48,3 et 54,8 g MS/kg P0,75en début et fin de gestation. Chez des agnelles de race Ouled Djellal alimentées à base de paille traitée à l’urée, Nait Athmane (1999) et Allouache (2008) avaient observé une ingestion de 51,3 et 53 g MS/kg.P0, 75 respectivement. L’ingestion moyenne de matière sèche de paille traitée durant la période de gestation estimée à 57g MS/kg P0,75 est inférieure à la moyenne de 63 g rapportée par Yahiaoui (1992) et Chermiti (1994) respectivement pour des pailles traitées à l’ammoniac. Il semble ainsi que la matière sèche volontairement ingérée est en relation avec la nature du traitement. Par ailleurs, avec des races performantes (brebis Mérinos d’Arles pleines), Chermiti et al (1989) avaient rapporté des quantités de matières sèches volontairement ingérées limitées à 51,3 g.
Comparativement aux poids à la naissance de 3 kg enregistrés par Yakhlef et Triki (2007) chez des multipares de race Ouled Djellal, soumises à des conditions expérimentales similaires, les agneaux de la présente étude paraissent plus performants. Cette performance serait favorable et déterminante pour la croissance pondérale. En effet, d’après Sagot (2007), un écart de 500g à la naissance se traduit par une variation de la vitesse de croissance, alors que 1 kg d’écart se traduit par une dégradation importante de la carcasse, quelles que soient les pratiques d’alimentation.
Bien plus, il est établi qu’en relation directe avec l’alimentation des mères durant le dernier mois de gestation, le poids de naissance a pour tous les types génétiques et toutes les espèces animales, des répercussions sur la production laitière, la croissance et le poids au sevrage (Sagot 2007). Le poids à la naissance a été partiellement derrière les résultats du poids réalisé à l’âge de 90 jours. En effet le poids moyen à 90 jours est plus élevé en paille traitée. Cette performance est nettement supérieure à celles obtenues par Nait Athmane (1999) chez des primipares Ouled Djellal (10,54 kg). Cependant, elle est comparable aux moyennes enregistrées à 90 jours par Kerba (1974) ; Turries (1976) et Saidene (1977) qui avaient rapporté des poids moyens de 20,9 ; 25,8 et 26,5 kg respectivement. Les poids des agneaux observés à 90 jours dans le cadre de cet essai correspondent bien au potentiel de la race Ouled Djellal décrit par Arbouche (1978).
Quoique non significative, la production laitière observée chez les brebis alimentées à la paille traitée est légèrement supérieure et se compare cependant avec les valeurs de 1,17 kg (Krid1985) et 1,23 kg (Benkaidali 1989) observées antérieurement chez des brebis multipares soumises à des conditions expérimentales proches. En revanche, des niveaux de production laitière inférieurs autour de 0,8 ont été rapportés par Mahmoudi et Dakiche (1996) et Kouache (1997), respectivement chez des primipares et des multipares recevant de la paille traitée à l’urée. Parallèlement, l’effet du traitement a été ressenti significativement par la production d’un lait plus riche en protéines, en lactose et en extraits secs .Cette amélioration semble être motivée par les effets conjugués du passage de la teneur en azote de la paille traitée de 3,45 à 14,37 % et notamment de la diminution du taux d’NDF (- 5,6 %) dans la paille traitée. Les conséquences de cette amélioration sont justifiées par le gain de poids observé chez les agneaux du lot expérimental. A priori, l’effet du traitement à l’urée sur la digestibilité décrit par Yakhlef (2003) plaide pour l’amélioration de la qualité du lait et la croissance des agneaux. En effet, d’après Morand-Fehr (1981) cité par Ouachem et al (2012) tout comme chez la vache et la chèvre, le taux protéique du lait de brebis est étroitement lié au niveau d’alimentation et surtout à la digestibilité.
Les résultats de la présente étude, confirment l’amélioration de la valeur alimentaire des pailles traitées rapportée par différents auteurs et mettent en évidence l’intérêt du traitement à l’urée durant la gestation et la lactation sur la matière sèche volontairement ingérée, le poids à la naissance, la qualité du lait et le poids au sevrage chez la race Ouled Djellal. En outre, cette réponse positive mérite d’être prise en compte dans les conditions alimentaires difficiles. D’autres investigations sont cependant nécessaires pour valider ces résultats.
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Received 2 July 2014; Accepted 9 July 2014; Published 1 August 2014